WES' McBRECHT | Have you got it in you ?

1.Who are you ?

Nom(s) : McBrecht ; à l'origine le nom de la famille était un simple Brecht mais le grand-père de Wesley, voulant prouver son attachement à sa région, rajouta un Mc typiquement écossais.
Prénom(s) : Wesley Miranda ; son prénom officiel n'a rien de féminin puisque jusqu'au jour de l'accouchement, il devait s'agir d'une fille. Aucun prénom n'avait été choisi en conséquence et, sous la pression de la naissance, les parents ont lancé le prénom prévu pour un garçon ; ne réfléchissant que trop tard à l'effet néfaste que cela pourrait avoir sur leur dernière née, qui l'aime plus que ce qu'elle le fait croire.
Surnom(s) : Wes' est l'incontournable dérivé de son prénom, le reste tient du domaine du privé, variant selon qui l'appelle et le degré de proximité. La jeune femme n'est pas une sauvage, elle adore les petits sobriquets.
Âge : Vingt-et-un an et demi.
Date et lieu de naissance : Wes' a vu le jour un vingt juin pluvieux dans un hôpital d'Edimburgh.
Nationalité : Britannique, Ecossaise pour faire dans la précision.
Etat civil : Célibataire ; compte bien le rester puisqu'elle ne croit pas le moins du monde au concept du mariage. De toute manière, elle n'aime pas les grandes cérémonies.
Occupation : Bien que l'argent familial pourrait la dispenser de travailler, Wes' a décidé de ne pas rester inactive ; en plus de ses études en psychologie, elle a donc pris un job à temps - très - partiel au Holland Park Pub qui se situe à deux pas de chez elle.



2.What’s your life ?

Caractère : Chiante, lunatique, incontrôlable, compliquée, rêveuse, dérangée, les adjectifs pour caractériser la personnalité de Wesley ne manquent pas ; toutefois s’il fallait s’attarder sur un terme un seul pour la représenter fidèlement, ce serait sans nul doute « femme ». Car oui, Wesley Miranda McBrecht est une représentante de la gent féminine sous sa forme la plus pure. Cela n’est pas pour faciliter sa compréhension, nombreux sont ceux – une majorité écrasante d’hommes, bien entendu – qui ont vite jeté l’éponge avant même d’avoir cherché à la cerner. Et elle n’en vit pas si mal que ça ; aux yeux de ses semblables de sexe féminin, elle est loin d’être une énigme, au contraire, certaines ont tendance à penser qu’elle tient plus du garçon manqué que de la gentille jeune fille dans ses actes et paroles, ce à quoi Wes’ ne donne pas tort. Elle a été élevée dans un univers très masculin, avec un père et un frère extrêmement machos, pour ne pas être à l’image de sa mère, cloîtrée dans le rôle de femme au foyer, elle a dû très tôt apprendre à jurer comme une charretière, se faire les cordes vocales devant un match de rugby ou de football, bref, d’agir comme un homme. Au début, elle en récoltait des brimades par ces jeunes camarades de classe qui ne voyaient en elle qu’une petite sotte issue d’une famille de nouveaux riches inintéressants. Ce qui n’était pas forcément le cas des garçons de son âge qui, encore aujourd’hui, apprécient sa fraîcheur et son disponibilité ; bien loin d’être aussi inaccessible que ses consœurs, elle est d’une compagnie agréable, qui semble ne pas se prendre la tête. Quelqu’un de bien, en somme. Evidemment, elle ne fait pas l’unanimité, loin de là, son caractère rêveur et imprévisible – elle peut passer du rire aux larmes en treize secondes, montre en main – la rend parfois ingérable et, là est le gros problème, elle ne parvient pas à s’entourer de personnes susceptibles de la soutenir dans des moments pareils. Non que ses amis n’en vaillent pas la peine, cependant elle est plutôt du genre à donner sans attendre de recevoir en retour. Ainsi, elle est capable de passer des heures au chevet d’une amie au cœur en miettes sans prendre une seule seconde pour se plaindre de sa propre vie sentimentale, elle ne juge que ce genre de choses ne regarde qu’elle. Elle s’efforce de garder la tête hors de l’eau même quand rien ne tourne plus rond, se contentant de rester l’oreille attentive que tout le monde apprécie parce qu’elle est consciente que les dépressifs ne font pas des connaissances agréables ; même si dans sa vie de tous les jours, elle accepte chacun comme il est, elle se refuse de faire partie de ceux que l’on met de côté ne serait-ce qu’occasionnellement.
Depuis son exportation dans la capitale britannique, bien loin de son Ecosse réconfortante, les habitudes de la jeune femme ont subi quelques modifications, notamment au niveau du mode de vie et de son style vestimentaire. Plus de femme de ménage ou de mère pour s’occuper de son intérieur – qu’elle partage bon gré mal gré avec son frangin – Wesley est rapidement devenue une jeune demoiselle bonne à marier puisqu’elle sait désormais passer l’aspirateur, faire les poussières et lancer une machine à laver en triant le blanc et les couleurs. Il reste encore le problème de la cuisine qu’elle a du mal à résoudre puisque les fourneaux s’avèrent beaucoup plus difficiles à maîtriser qu’elle ne l’aurait cru dans un premier temps. Elle compte sur l’expression « la perfection n’existe pas » pour faire avaler la pilule à ses prétendants potentiels. Prétendants qui ne sont pas aussi nombreux que l’on pourrait imaginer. Jolie, agréable et drôle, Wesley a extérieurement tout pour plaire. Peut-être trop. En effet, elle s’entend tellement bien avec la gent masculine que la plupart d’entre eux en vient à ne voir en elle qu’un « pote doté d’attributs féminins », une amie sans rien de plus. Même si cette étiquette lui semblait flatteuse au début, elle commence à s’en lasser. Personne n’a envie de devenir la meilleure amie du Prince Charmant, celle à qui il demande conseil à chaque princesse qu’il rencontre.

3.What else ?

- Elle a une voix à faire pâlir plus d'une chanteuse professionnelle. Hélas, elle ne partage son talent qu'avec son flacon de shampooing.
- Son film préféré de tous les temps est Ghostbusters.
- Elle est accro au café. Mais alors hyper accro. Ce qui n'est pas pour calmer ses ardeurs.
- Elle adore les céréales en forme de lettres, tous les matins elle s'en sert un grand bol et compose le plus de mots possibles.
- Selon elle, le monde de la musique aurait dû s'arrêter aux années 80, tout ce qui est contemporain ne vaut pas le détour. Sauf exceptions.
- Grande enfant dans l'âme, elle adore regarder les dessins animés à la télévision.
- Elle a regardé une fois, pour tester, un film pornographique. Elle a tenu quinze minutes avant de tout arrêter et brûler la copie.
- Elle a toujours voulu faire du piano, ses parents préférèrent l'inscrire dans un cours de harpe.
- Elle adore ennuyer les gens, pour se faire elle utilise deux techniques qui ont fait leurs preuves : le fameux "poils au..." qu'elle n'hésite pas à sortir dès qu'elle ne sait plus quoi dire mais également la répétition des phrases de son interlocuteur. Et personne n\'a jamais osé faire usage de la force pour la faire taire.
- Malgré les ragots circulant sur sa vie sentimentale désastreuse, Wesley peut se vanter de ne pas être seule puisqu'elle a depuis quelques mois pour compagnon un adorable petit Yorkshire Terrier qu'elle a nommé Meeko - en rapport avec le dessin animé Pocahontas - ; l'animal ne fait pas l'unanimité chez ses proches qui ne considèrent pas cette petite peluche comme un chien. Mais elle s'en fout, elle l'aime à la folie.
- "Femme au volant, mort au tournant". Ce vieil adage mysogine prend tout son sens lorsqu'il s'agit de la conduite de Wesley. Constamment occupée à autre chose qu'à tenir le volant, elle ne fait attention à rien et il vaut mieux éviter d'accepter lorsqu'elle propose de vous raccompagner chez vous.
- Avant de rencontrer Jane, elle avait une sainte horreur des hôpitaux, détestant à la fois leur odeur et l'atmosphère qui y règne.
- Elle n'a pas eu de petit ami ni de relation sexuelle depuis un peu plus d'un an, toutefois elle minimise les dégats lorsqu'on lui pose la question en balançant un vague « ça doit faire quelques mois ».
- Elle veut devenir une grande psychologue et fait de chacune de ses connaissances un patient potentiel en attendant de décrocher son diplôme. Un bon entraînement vus les cas qu'elle côtoye.
- Véritable geek dans l'âme, elle n'a pas peur de passer des soirées complètes sur son ordinateur, devant la console de son frère ou à regarder des films sans interruption. Bien entendu, elle s'énerve vite devant son PC, est nulle aux jeux vidéo et s'endort au bout d'une heure et demi de film. Mais elle aime la vie de geek. En théorie.

4.The End

Avatar : Emmy Rossum
Pseudo : Corpse Heart, aka Mrs.LaBeouf
Garçon ou fille : Mademoiselle
Où avez-vous connu le forum ? Dans le rayon hygiène corporelle de Carrefour
Commentaires : J'aime ma Mikette, ma Buttibutt et mon Sully

« MAMAAAAN ! »

Le lustre en cristal qui surplombait l’entrée du manoir des McBrecht tangua dangereusement sous le simple effet du cri qui résonna dans tout le rez-de-chaussée. Le plancher d’époque se mit à vibrer comme si un troupeau d’éléphants venait de trouver une source d’eau potable dans le salon. Christina McBrecht, les bras chargés de sacs synonymes d’une séance de shopping réussie, eut à peine l’occasion de refermer la porte derrière elle que deux tornades firent irruption face à elle. Ou plutôt « dans » elle puisque l’une de ses charmantes têtes brunes ne parvint pas à stopper sa course à temps et fit s’envoler les courses de Noël tout juste ramenées.

« Maman, Nate il a… »
« N’importe quoi, j’ai rien… »
« … cassé mon… »
« …fait, elle invente juste pour… »
« … téléphone tout ça parce que je n’ai pas voulu lui prêter… »
« … que je me fasse disputer et être privé de cadeaux… »
« … mon rouge à lèvres, c’est pas normal qu’un garçon veuille du rouge à lèvres, hein ? »

Le silence retomba soudainement dans l’entrée. Wesley fixait sa mère avec insistance, cette dernière jetant un regard étonné en direction de son fils qui, lui, faisait les yeux ronds à sa sœur. Apparemment, l’explosion était imminente et si Vicky souhaitait éviter que ces deux terreurs d’adolescents ne s’entretuent, il lui fallait agir vite. Posant à terre le dernier sac qui demeurait dans ses bras, la mère de famille leva un doigt pour faire taire par prévention sa fille et posa un regard lourd sur son fils.

« Nate, ta version des faits ? »
« Je… Elle… »
« Ne bégaye pas, je te prie, quel âge crois-tu avoir ? »

Cette simple question eut pour effet de bloquer complètement Nathan qui baissa les yeux au sol avec une moue enfantine qui ôta au moins six ans aux dix-huit années qu’il traînait derrière lui. Wes’, peu ravie de le voir dans un état pareil, secoua sa longue chevelure ondulée pour attirer l’attention de sa mère, attendant qu’elle lui donne l’autorisation de parler.

« Qu’est-ce qu’il a fait ? »
« Rien. J’étais juste au téléphone et il est entré précipitamment dans ma chambre ce qui a fait tomber mon trophée de danse de l’an dernier sur le récepteur téléphonique. Ca a fait un gros boum dans mon oreille mais apparemment rien n’est cassé. »
« C’est vrai, je ne l’ai pas fait exprès. J’allais d’ailleurs m’excuser mais tu es arrivée à ce moment-là et on voulait te saluer. »

Vicky arqua les sourcils, peu convaincue. Elle appréciait néanmoins le fait que toute trace de chamaillerie avait disparu et apprécia l’instant de calme qui régnait désormais dans la maisonnée. « D’accord. Je demanderai à votre père de regarder si le récepteur n’est pas trop amoché dès qu’il rentrera. En attendant, je vous ai ramené des petits cadeaux pour vous faire patienter jusqu’à Noël. » Regards complices échangés entre les enfants. « Aidez moi à porter tout ce fourbi jusque dans la salle à manger et vous aurez droit de les ouvrir un peu en avance. » La dame conclut sa phrase par un demi-sourire amusé devant l’expression de joie surprise partagée par sa progéniture. Elle attrapa l’un des sacs et se mit en marche, bientôt suivie par Wes’ et Nate qui se chargèrent de transporter le reste dans une succession de murmures plus ou moins discrets.

« Je t’avais dit que ça marcherait. »
« T’étais vraiment obligée de dire que je mettais du rouge à lèvres ? »
« Non, mais j’ai trouvé ça marrant. »
« C’est dégradant de colporter des trucs pareils, même pour réussir à choper des cadeaux à l’avance ! »
« Ta tête valait tous les cadeaux du monde. »
« Sale fourbe. »
« Petit joueur. »
« Gamine. »
« Puceau… »
« Ignorante et naïve ! » répliqua-t-il avec un rire sarcastique avant d’accélérer son allure, une Wesley avide de savoir et de ragots sur les talons.





« Très cher frère, bonsoir. »
« Euh… salut. »
« Et une deuxième journée de terminée, une. »
« Ah oui, la fac. Ca a été ? Au moins mieux qu’hier ? »
« Hier ? Hier c’est du passé, aujourd’hui c’était génial. J’ai eu mon premier cours de psychologie du développement, même si je n’ai pas compris la moitié de ce que le prof a raconté, j’ai trouvé ça passionnant. »
« Ah oui ? Tu verras, c’est loin d’être évident plus les cours passent. »
« J’ai aussi rencontré mon parrain. Il est super sympa, drôle et intéressant. »
« Il est mignon ? »
« Pourquoi, t’es en rut ? »
« Je m’inquiète juste pour toi. Ca fait un moment que ta chambre n’a pas connu un peu de testostérone alors je me renseigne sur tes proies potentielles. »
« Je te remercie de cette délicate attention, gêne de mes gènes. Il n’est pas mal, c’est vrai. »
« Mais ? »
« Mais rien, je le connais depuis cet après-midi, je ne m’appelle pas Nathan-je-saute-sur-tout-ce-qui-bouge ! »
« Ca ne te ferait pourtant pas de tort. »
« Fils du Diable. »
« Enfant du pêché… »

Wesley s’apprêtait à répondre par une énième insulte lorsque le bip bip caractéristique d’une panne de batterie imminente la coupa dans son élan.

« Merde, panne de batterie, il faut que je raccroche. »
« Tu t’avoues vaincue ? »
« Jamais, ça attendra juste mon retour à la maison. »
« Si tu n’as pas un accident d’ici là. »
« Tu as mangé un clown ce matin ? »
« Non, des céréales. »
« N’empêche, j’aimerais bien qu’il m’arrive quelque chose simplement pour que tu t’en veuilles pour le restant de tes jours. »
« Peut-être, mais j’aurais un super grand appart’ pour moi tout seul dans lequel te pleurer. »
« Fils de l’Enfer. »
« Tu l’as déjà dit. »
« Bon allez, à dans cinq minutes, à la maison. »

La jeune femme raccrocha tout en débrayant pour s’arrêter au feu rouge. Elle attrapa son sac pour y déposer son portable mais celui-ci se mit à vibrer sitôt posé. Le récupérant pour prendre connaissance du message – son père – elle lâcha un soupir qui détonnait avec le sourire qui s’étalait sur ses lèvres. Ce bon vieux Monsieur McBrecht senior lui souhaitait un bon anniversaire avec trois jours d’avance, que c’était touchant de sa part. Wes’ tapota une réponse rapide mais un klaxon de remontrances derrière elle l’obligea à redémarrer dans la seconde, gratifiant le conducteur pressé d’un joli doigt d’honneur, elle enclencha la première et démarra en trombe sans se rendre compte qu’un piéton était engagé sur la chaussée. Trop tard. Le choc fut inévitable – tout au moins s’il l’était, pas par une conductrice novice telle qu’elle. La jeune Ecossaise enfonça la pédale de frein, faisant callé son moteur dans un bruit sourd et descendit immédiatement pour se rendre compte de la situation.

« Oh mon dieu ! Je suis désolée, vraiment désolée. » Elle s’accroupit pour se mettre à la hauteur de la jeune femme qui, sous le choc de la collision, s’était retrouvée propulsée au sol. « Oh mon dieu… »
« Ca va, » répondit la victime en essayant de se redresser. « Je n’ai rien. »
« Je viens de vous percuter avec ma voiture, vous êtes par terre, vous avez forcément quelque chose. »
« Puisque je vous dis que je vais bien… »
« Attrapez ma main, je vous emmène à l’hôpital. »
« Quoi ? Non. »
« Pas de discussion. J'ai une bonne assurance. »

Wesley tendit à la brunette une main tremblante pour l’aider à se relever et l’accompagna jusqu’à la portière passager. Une fois assurée que la pauvre personne était bien installée, elle retourna derrière le volant, non sans une légère appréhension et démarra direction l’hôpital le plus proche – dont elle n’avait aucune idée de l’emplacement puisqu’elle n’avait jamais eu l’occasion de s’y rendre, toutefois la dénommée Jazz fut une copilote impeccable et elles ne se perdirent qu’une fois.

« Un médecin s’il vous plaît ! » se mit à hurler Wesley dès les portes de l’hôpital franchies.
« Pas la peine de crier comme ça, je ne suis pas à l’agonie ! »
« Désolée, je veux simplement… »
« … te débarrasser vite fait de moi ? Ca aurait pu se faire plus tôt que ça. »
« Pas du tout, au contraire, je vais rester jusqu’à ce que je sois assurée que je ne t’ai pas mutilée ou pire. »
« Qu’est-ce qu’il y a de pire qu’un membre mutilé ? »
« Une colonne vertébrale sectionnée mais non déplacée qui peut entraîner une paralysie partielle des membres inférieurs et, à plus long terme, une paralysie totale. »

Les deux jeunes femmes se retournèrent dans un mouvement commun vers la jeune femme en blouse blanche qui venait de faire son apparition. Toutes deux bouches bées, ni l’une ni l’autre ne sut quoi répondre à cette vérité tant écrasante qu’effrayante.

« Vous avez demandé un médecin, non ? Docteur Hastings. Enfin, officiellement je ne suis encore qu’interne mais je réponds déjà à ce titre. Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »
« Hé bien… il y a eu un accident. Je l’ai renversée et elle est tombée. En voiture. Elle a dit que tout allait bien mais j’ai préféré venir. Enfin, moi j’étais en voiture, pas elle, je n’ai pas été très claire, elle a traversé devant moi et… »
« Je pense avoir compris. Bien, mademoiselle… »
« Baker. »
« Mademoiselle Baker, vous allez me suivre en radiologie, on va s’assurer que rien n’a été déplacé là-dessous. »
« Je ne veux pas être paralysée… »
« Je ne veux pas qu’elle soit paralysée ! »
« On va tout faire pour qu’elle ne le soit pas. »

La « presque » médecin et sa patiente se mirent en marche dans un couloir adjacent aux urgences ; dans un moment d’égarement, Wesley leur emboîta le pas.

« Excusez-moi, vous êtes de la famille ? »
« Non, je… je ne suis que celle qui l’a renversée. »
« Je suis désolée mais seuls les proches ont le… »
« Laissez la venir, ça ne me dérange pas. »

D’aucune n’imagina, à ce moment là, que cette simple banalité lancée par Jazz scellerait à jamais l’amitié qui allait unir les trois jeunes femmes. Malgré leurs différences flagrantes tant en âge que dans leurs professions, il ne leur fallut que deux sorties pour devenir tout bonnement inséparables.

GNIIIIAHHHHH

Pourquoi le lien Deezer marche pas ?

GNNNNIEEEEEHHHHH

Parce que tu n'as pas coché la case "activer le html" dans les préférences de ton profil (mais j'ai rectifié le tir pour les futurs inscrits :afro: )

Ah merci xD

De rien

Ahlala qu'est ce qu'on ferait sans toi Je t'aime et ton futur mari aussi

Vous vous ennuyeriez considérablement, déjà

Je l'aime aussi, si tu savais

Je l'ai activé moi mais je ne vois pas non plus le lecteur

Bah tant pis pour vous, moi je le vois

Moi aussi

Tout est revenu dans l'ordre

C'est le principal

Citation :

- elle adore regarder les dessins animés à la télévision.

Vient là topine

Citation :

- Elle a regardé une fois, pour tester, un film pornographique. Elle a tenu quinze minutes avant de tout arrêter et brûler la copie.

EDIT : 15 minutes c'est beaucoup, comment elle a fait

Wesley McBrecht a écrit:

- Elle a regardé une fois, pour tester, un film pornographique. Elle a tenu quinze minutes avant de tout arrêter et brûler la copie.

Vous avez le même esprit mal tourné les filles

Et quinze minutes, c'était le temps que l'intrigue se mette en place plus les préliminaires

PTDR Ouais en même temps xD

Ahhh c'était dont ça

C'est qu'on imaginait pas ça de la petite Wes'

Wesley McBrecht a écrit:

"Femme au volant, mort au tournant". Ce vieil adage mysogine prend tout son sens lorsqu'il s'agit de la conduite de Wesley. Constamment occupée à autre chose qu'à tenir le volant, elle ne fait attention à rien et il vaut mieux éviter d'accepter lorsqu'elle propose de vous raccompagner chez vous.

Bah tiens

Avec cette deuxième musique issue d'un de mes films fétiches, tu ne pouvais pas plus me réjouir

Ca n'aime aps fair ele caractère amis ça pond un roman

Et encore, j'avais encore quelques trucs à mettre mais j'en ai eu marre