JAZZ ELIZABETH BAKER | Don't tell me what's gonna happen next

« Livin is easy with eyes closed
Misunderstanding all you see
It’s getting hard to be someone
But it all works out
It doesn’t matter much to me »

1.Who are you ?

Nom(s) : Baker. Le nom de jeune fille de sa mère. A sa naissance pourtant, elle a bien eu le nom de son père, Lawson mais à ses 18 ans elle a décidé de prendre celui de sa mère pour des raisons évidentes.
Prénom(s) : Jazz Elizabeth. Son premier prénom devait lui être destiné au vit de la vie toujours guidé par la musique de la jeune femme. C'est sa mère qui a choisi son prénom, étant une grande fan des Sinatra, Armstrong et consorts. Son deuxième prénom est celui de sa grand-mère maternelle, une femme qu'elle aimait autant que sa mère.
Surnom(s) : Jay, Jazzy,etc.
Âge : 25 ans
Date et lieu de naissance : Londres, un 11 mars pluvieux.
Nationalité : Anglaise de pure souche, bien que sa mère ait des origines irlandaises.
Etat civil : Célibataire et fière de l’être ! A vrai dire, avec un père qu'elle n'a quasi pas connu car trop absent avant de disparaitre complètement, et une mère morte d'un cancer il y a tout juste un an, Jazz s'est enfermé dans une bulle hermétique à l'amour, (sauf celui des deux autres mousquetaire) ayant l'impression que celui-ci le fuit ou que ceux qu'elle aime finisse par l'abandonné. La preuve en est avec un certain jeune homme avec qui elle entretient une relation complexe et ambigüe
Occupation : Elle a étudié la musique à l’université, elle était incontestablement doué mais plutôt que de se lancer dans une carrière de musicienne, elle s’est très vite trouvé un travail pour la BBC en tant qu’animatrice radio. Une plutôt belle réussite mais tout n'était pas vraiment tracé d'avance. Elle a vécut jusqu'à la fin de son adolescence avec sa mère, sa grand-mère et sa petite soeur dans un petit appartement ridicule, les fin de mois plus que difficile. Ces évènements passés rappele à la jeune femme d'où elle vient et surtout de garder les pieds sur Terre.



.What’s your life ?

« I need to live with nothing fixed
Don't tell me what's gonna happen next
I'm alright, I like the way this feels
Leave behind all the things I miss
The next stop isn't where you think it is
Cause tonight I'm riding off the rails »

Caractère :

S’il y a bien quelque chose de compliquer, c’est de comprendre une Baker, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’une femme. Les contradictions s’ajoutent les unes aux autres, les pics d’incompréhension récurrents. Il faut dire que le caractère si extroverti socialement (parfois un peu de trop) et si introverti intérieurement de Jazz prête à confusion. Il est difficile de cerner la jeune femme, seul ses deux meilleures amies arrivent à la comprendre et encore, c’est parfois bien ardu. Malgré sa facette orgueilleuse, cynique et malicieuse qu’elle expose à l’excès (ce qui d'ailleurs irritent souvent certaines personnes), Jay est une éternelle rêveuse et idéaliste, sans doute dû à l’écoute en boucle les chansons des Beatles. Cependant, veillez pour votre santé à ne pas trop irriter la jeune femme, râleuse et susceptible à l’extrême, elle n’en hésiterait pas à en venir aux mains si le coupable de sa colère fait parti de la gente masculine et ce même si sa force est ridicule. De plus et ce qui n'est pas pour arrangé son cas, la jeune Baker est une jalouse et une possessive finie. Malgré ces charges de animosité, elle n’en reste pas moins affectueuse et très tactile, particulièrement lorsqu’il s’agit d’enfants, elle est incapable de résister à leur petite bouille trop craquante. Indépendante et libre comme l’air, les attaches (particulièrement sentimentales) lui font une peur panique. Mais Jazz n’est pas seulement un mélange d’humeurs changeantes comme le temps, c’est également une femme qui veut croquer chaque petit moment de la vie à pleines dents, peu importe si elle fait des erreurs. Dynamique, elle a l’habitude de vivre ses journées à cent à l’heure, bénissant chaque minute de relaxation. La jeune femme est ouverte d’esprit et pour cause, elle-même est excentrique, que ce soit dans sa façon de vivre, d'être ou de s'habiller. Il n'est donc pas si exceptionnel que cela de la voir être habillé d'un t-shirt extra large qui lui arrive juste au dessus du genou, d'un legging et d'une paire de bottes, ou encore de la voir se jeter dans une fontaire sous les yeux ébahis des passants, voir même d'aller narguer les agents de police.

3.What else ?

* Il règne dans son appartement une odeur de noix de coco
* Elle n’a jamais appris à conduire, elle adore prendre le métro et donc cela ne lui pose pas de problème.
* Elle fait de la danse classique depuis qu’elle a 8 ans.
* Grâce à ses études, Jazz a appris à jouer de plusieurs instruments : harmonica, guitare, batterie, piano,… Par contre, il est très rare qu’elle fasse entendre sa voix pourtant pas désagréable.
* Elle collectionne les tickets de cinéma
* Son film préféré est retour vers le futur
* Elle a une énorme collection de vinyles.
* Elle a peur du vide et tombe dans les pommes lorsqu’elle voit du sang.
* Elle a également une peur panique des clowns.
* Elle trie les M&M’s, mangeant couleur par couleur.
* C’est une gaffeuse professionnelle.
* Elle dort toujours avec un doudou.
* Elle se balade toujours avec son appareil photo, elle adore capturer les moments de la vie quotidienne.
* C’est une grande fan de converse, c’est d’ailleurs la quasi-totalité des chaussures qu’elle possède.
* Elle possède plusieurs tatouages : Trois étoiles sur l’intérieur du poignet droit, elle est la seule à savoir ce que chacune représente, une note de musique dans la nuque et « MAMAN » écrit en blanc sur l’omoplate.
* Elle ne prend son café qu'au Starbucks et c'est toujours le même, Un Frappuccino Coffe avec de la crème.
* Elle boit des quantité impressionnante de lait, parfois même à la bouteille.
* Elle déteste la chaleur et adore daser sous la pluie
* Il lui arrive de marcher sans but dans la rue, son casque sur les oreilles, la musique tambourinant dans son cerveau. Par après, elle se rend compte qu'elle est bien loin de chez elle.
* Elle traîne souvent dans les musées.
* Elle regarde toujours Bob l'Eponge et lorsqu'elle rate un épisode, elle l'enregistre !
* Elle joue souvent avec ses cheveux quand elle s'ennuie, réfléchit ou est anxieuse.
* On ne peut pas vraiment dire que Jazz est une grande cuisinière au contraire mais par contre, elle fait des gâteau et des pâtisseries à se damner.
* Elle doit être l'une des rares filles sur Terre à haîr les fleurs.
* Elle adore crier sans raison, parfois même dans la rue, vous devriez essayer, cela fait un bien fou.

4.The End

Avatar : Natalie Portman
Pseudo : Gipsy, Miko, Mikette, etc.
Garçon ou fille : Heu je sais plus
Où avez-vous connu le forum ? Sur Mars
Commentaires : GNIAAAHHH ! JE VOUS AIMEUUUUH !!!*

Biographie :

{ THE LAST SONG

C’était un jour de pluie comme parmi tant d’autres à Londres. Jazz se tenait debout, les yeux rougis de retenir ses larmes, forte, il fallait être forte. Ils étaient tous habillés de noir, sauf elle. Son excentricité – et son t-shirt archi coloré dans le cas présent- la poussait même jusqu’ici, dans un endroit lugubre qu’elle avait toujours détesté parce qu’il avait le don d’être la dernière demeure de personnes qu’elle chérissait. Il pleuvait des cordes, elle était trempé jusqu’aux os. Personne ne savait réellement comment agir avec une fille orpheline, surtout lorsque cette dernière est adulte et que les histoires que l’on raconte aux enfants ne marchent plus depuis longtemps. Les « Maman est au ciel », « Maman est heureuse », « Maman te regarde de là-haut », patati patata, des foutaises oui !

[FLASH-BACK]

Jazz était dans la cuisine de la très petite maison de East End. Âgée à peine de 4 ans, elle pouvait se lever toute seule et préparer son petit-déjeuner, toujours le même, des céréales au chocolat qui finissaient par donner une teinte et un goût de cacao au lait. Elle avait un peu de mal à croquer dans son repas matinal car la vieille, elle avait perdu ses deux dents de devant. Des pas résonnèrent et sa mère fit son apparition dans la pièce.

« Alors mon amour, la petite souris est passée cette nuit ? » dit cette dernière avec une voix encore endormie.
« Oui » Cria d’enthousiasme la petite fille qui aussitôt abandonna son bol de céréales pour se ruer dans les bras de sa mère. « Regarde ce qu’elle m’a apporté » Enchaîna-t-elle pleine de bonheur, Jazz montra du doigt le bracelet que la petite souris lui avait apporté, souriant et laissant apparaître ainsi le trou former par l’absence de ses deux dents.

[FIN DU FLASH-BACK]

Elle frôla le bracelet de ses doigts tremblant. Une larme coula finalement le long de sa joue, elle ne chercha même pas à arrêter son chemin, la laissant ainsi imprégner d’une douleur pour une fois extérioriser.

[FLASH-BACK]

Jazz mis les clés dans la serrure et les tourna. Un cliquetis se fit entendre et elle entra dans la maison. La télévision était allumée, le son beaucoup trop fort parvenait aux oreilles de l’adolescente. Sa grand-mère devait une fois de plus s’être endormie devant sa série favorite, bien qu’elle se demandait toujours comment elle pouvait dormir avec un vacarme pareil… Sa mère était encore au travail, heureusement d’ailleurs car le « cadeau » que Jazz lui amenait n’avait rien de réjouissant, un « magnifique » bulletin. Elle le déposa sur la table de la cuisine et monta dans sa chambre où, comme d’habitude, elle préférait largement passé son temps à écouter de la musique plutôt que t’étudier pour un test important le lendemain, de toute façon, elle n’y comprenait rien au math, cela ne servait donc à rien de se donner une migraine en restant une heure devant des feuilles sans rien y comprendre.

Elle n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir une demi-heure plus tard, ni les pas de sa mère qui résonnait sur le parquet usé. Elle ne se rendit compte de sa présence que lorsqu’elle fit irruption dans sa chambre alors que Jay était en train de danser frénétiquement sur les Beach Boys.

« Jazz Elizabeth Lawson, je ne suis pas très fière de toi, je veux que tu travailles, sinon je t’enlève tout. » Dis-t-elle sur un ton accusateur alors qu’elle montrait un à un les objets auxquelles sa fille tenait le plus.
« Bon ça va, c’est pas si terrible que ça … »
« Non bien sûr, tu as quatre échecs Jazz … »
« J’vais faire des effort, promis ! »
« Justement, j’ai trouvé la solution … »
Le petit sourire qu’arborait sa mère n’avait rien de rassurant aux yeux de la jeune fille, elle voyait le tableau arriver, des cours particuliers … encore.
« On a déjà tenté des dizaines de fois, ça n’a rien donné … »
« Peut-être mais cette fois j’ai trouvé la bonne personne, peut-être que tu finiras par écouter quelqu’un qui a ton âge… Tu te souviens du fils des Adams ? »
Et comment qu’elle s’en souvenait, il était sans doute l’un des garçons les plus populaires de tout le lycée, les filles n’arrêtaient pas de courir après, sans succès. Ceux qui le haïssait prétendait qu’il était de l’autre bord mais Jazz n’en avait que faire, elle ne cessait de le regarder en cours de Math au lieu d’écouter son prof, ce qui bien souvent l’amenait à se faire renvoyer du cours.

Si elle avait su que ces cours particulier réussirait à la faire remarquer aux yeux du garçon, elle aurait sans doute remercié sa mère au lieu de se plaindre dans son coin.


[FIN DU FLASH-BACK]

Un sourire, mince, mais un sourire quand même.




{ DO YA ?


Si la plupart des gens voyaient arriver le week-end avec soulagement, pour la londonienne, c’était plutôt la fin du week-end. Le sien se situait pendant les deux premiers jours de la semaine, un horaire un peu décalé qui il est vrai, ne favorise pas toujours les sorties entre copines. Son activité favorite le lundi matin ? Dormir et encore dormir. Il faut dire qu’elle ne se l’autorise qu’une seule fois par semaine et la perspective de savoir le reste de la population londonienne dans des bureaux à se faire chauffer les neurones ne peut que l’encourager à toujours gagner quelques minutes sous la couette. Elle entrouvrit les yeux pour la troisième fois de la matinée, émergeant d’un coma profond. Douze heures et trois minutes. Elle enfouit une dernière fois sa tête dans le coussin avant de s’obliger à sortir du lit. Le rituel du lundi « matin » était toujours le même : une bonne douche histoire de s’ouvrir les yeux et un bon Starbucks.

Avec le nombre incroyable de café que le groupe a implanté dans la capitale anglaise, Jazz aurait pu – et le fait d’habitude- se rendre dans celui le plus proche de son domicile. Mais pour une fois, elle prit le métro pour se rendre à Piccadilly Circus. Elle devait se rendre au cinéma avec sa sœur et comme elle n’était déjà pas fort en avance …

Elle entra dans l’un des cafés les plus célèbres aux mondes. Les différents arômes de café lui arrivèrent jusqu’au narines, une bonne journée commence toujours par un bon café. Elle ne dut pas attendre longtemps avant que son tour arrive. Le serveur elle devait l’avouer était plutôt à son coup, des yeux hazel perçant et un certain charisme non négligeable.

« Qu’est-ce que j’vous sers ? »
« Un frappuccino café … avec chantilly et un muffin au chocolat s’il vous plaît. »Si on avait dit à Jazz qu’elle se livrerait à un jeu de séduction avec un serveur –bien qu’à son avis un peu trop jeune- elle se serait peut-être pour une fois levée un peu plus tôt. Les deux jeunes gens se lançaient des regards complices et une pléiade de sourire en coin malicieux, c’est presque avec une pointe de désappointement que Jazz sorti affronter le soleil frais d’une fin d’automne.

Lorsqu’elle attrapa son café, ses doigts effleurèrent un bout de tissu. Elle lâcha de suite sa prise sur son frappuccino adoré pour se pencher sur la serviette. Un sourire illumina son visage. Elle se retourna pour regarder à travers les vitres du café qu’elle venait tout juste de quitter, le serveur était déjà attelé à combler un autre client. Elle posa ses yeux une fois de plus sur l’intrus inattendu, un numéro de téléphone.

C'est l'une de nos chansons avec Corpsie ça

On en a tellement aussi

Lol

Ouais masi c'est les Beatles et tu sais moi et els Beatles, d'ailleurs j'ai acheté un vinyle à Londres Et un poster *-*

Les Beatles
C'est avec toi Corpsie que j'ai acheté les albums à Virgin ?

Hmmm... T'en avais acheté un il me semble En même temps, on a acheté tellement de choses ce week-end là que je ne me souviens pas de tout

{ SMILE

Les trois brunettes – appelés ainsi en raison de leur chevelure brune – se trouvaient assises à une table du Holland Park Pub, sans doute le plus familial de toute la capitale. Wes’ y travaillait quelques heures par semaine alors il était assez facile de se faire offrir une consommation, surtout quand le propriétaire se trouve être le septuagénaire de plus gentil de toute l’Angleterre. Les trois amies avaient en général des conversations … de filles. Que ce soit un beau chirurgien dans le cas de Jane, un étudiant plus âgé trop craquant dans le cas de Wes’ ou un collègue qui s’occupe de la rubrique sport dans le cas de Jazz. Mais leurs conversations ne se limitaient pas aux garçons, non, il y avait Grey’s Anatomy aussi… Plus sérieusement, depuis leur – surprenante – rencontre il y a de cela un peu plus de trois ans, les trois jeunes femmes ne se quittent plus et ce malgré leur différence d’âge.

« Monsieur Carlington, Je peux avoir une autre bière s’il vous plaît ? » Supplia presque Jazz.
« Ton ventre va ressembler à une montgolfière » Prit le soin de préciser Jane.
« Je vais être obliger de te ramener… » Ajouta la plus jeune des trois. Eclat de rire général, il faut dire que cela leur rappelait à toutes le fameux jour où elles ont fait connaissance.
« Tu as déjà failli me tuer une fois c’est suffisant merci … »
« Tu m’as dit que tu n’avais rien. »
« Je n’avais rien »
« Elle n’avait rien »
Monsieur Carlington apporta la bière de Jazz, elle avait beau ne pas être un homme, elle raffolait de leur boisson favorite.
« Toi, par contre » Ajouta Jane, se sentant obliger de préciser quelque chose. « Tu étais hystérique »
« … »
« Fait pas cette tête, ce qu’on retiendra surtout c’est la fin de la soirée. »
« Et le beau radiologue »
« J’allais dire et la pizza quatre fromages… » Nouvel éclat de rires général.
« N’empêche que le radiologue était pas mal… »





{ DON'T STOP ME NOW

La soirée avait plutôt mal commencée, les cheveux attachés en pagaille, Jazz s’affairait dans la cuisine à combattre le tsunami causé par sa plomberie. Jusqu’ici, elle avait « maîtrisé » la fuite avec tout un tas de seaux qui ne suffirait bientôt plus. Elle avait alors envoyé un message en catastrophe à Semi, espérant qu’il pourrait l’aider avant que son appartement ne finisse inonder. La sonnerie retentit et c’est avec soulagement qu’elle se précipita pour ouvrir au jeune homme.

« Quelque chose en va pas ? Tu m’as- »
« La plomberie. »
« La plomberie ? »
Elle souffla en l’entraînant devant le carnage. En réalité, elle ne lui avait pas indiqué le problème et elle ne savait même pas si les problèmes de tuyaux étaient dans ses cordes. Son meilleur ami étant en voyage, Semi était le seul homme dans le paysage londonien à qui elle acceptait de montrer autant de détresse devant un problème si … masculin.
« Tu t’y connais au moins ? Enh non s’il te plaît en me dis rien, j’veux pas savoir »
« Ok »
« Mais tu t’y connais ? » Dit-elle malgré tout paniquée, car si réellement il n’était pas apte à régler des problèmes de plomberie, elle se retrouverait avec l’océan atlantique chez elle … sans les poissons.
« Je suis censé ne rien dire, rappele-toi... » Précisa-t-il avec un sourire aux lèvres.
Le jeune homme regarda autour de lui, Jazz pensa d’abord qu’il faisait un « état des lieux » avant de se rendre compte qu’en réalité, il cherchai quelque chose.
« Où sont les outils ? »
« Quels outils ? »
« Tu sais bien, ces trucs métalliques qui servent à serrer des boulons et ce genre de choses.. »« … »
« T’en a pas ? »
« … »

Il se mit tout de même à la tâche, étant certain qu’il lui serait impossible de réparer quoique ce soit, mais il ne pouvait rien lui refuser, n’est-ce pas ? Les minutes qui suivirent furent une succession de jet d’eau incongru, de fou rire, de sol détrempé et pour enfin se finir dans un éclat de rire général, la fuite était surmontée jusqu’à l’arrivée d’un plombier compétent … et avec des outils. Mouillés de la tête aux pieds, les deux jeunes gens calmaient peu à peu leurs zygomatiques. L’anglaise jeta un regard à son plombier de substitution, ses vêtements étaient complètement trempés, d’ailleurs le pauvre avec des gouttes d’eau qui lui tombaient du menton. Elle se mordit la lèvre inférieure et tel un félin s’approcha de sa proie avec une irrésistible envie en tête. Elle se jeta sur ses lèvres, ses mains déjà préoccuper à enlever le t-shirt de Sem’.

« Et ta sœur ? »« T’en fais pas, j’pense qu’on est tranquilles pour toute la nuit … »

J'ai imaginé la scène de la dernière anecdote et ça y est, je suis jalouse

je savais que tu dirais quelque chose

Jazz Baker a écrit:

Il se mit tout de même à la tâche, étant certain qu’il lui serait impossible de réparer quoique ce soit, mais il ne pouvait rien lui refuser, n’est-ce pas ? Les minutes qui suivirent furent une succession de jet d’eau incongru, de fou rire, de sol détrempé et pour enfin se finir dans un éclat de rire général, la fuite était surmontée jusqu’à l’arrivée d’un plombier compétent … et avec des outils. Mouillés de la tête aux pieds, les deux jeunes gens calmaient peu à peu leurs zygomatiques. L’anglaise jeta un regard à son plombier de substitution, ses vêtements étaient complètement trempés, d’ailleurs le pauvre avec des gouttes d’eau qui lui tombaient du manteau. Elle se mordit la lèvre inférieure et tel un félin s’approcha de sa proie avec une irrésistible envie en tête. Elle se jeta sur ses lèvres, ses mains déjà préoccuper à enlever le t-shirt de Sem’.

« Et ta sœur ? »
« T’en fais pas, j’pense qu’on est tranquilles pour toute la nuit … »

Contente qeu ça te plaise

Ca me plaît
Pas besoin de la supplier, c'est elle qui prend les devants

Oh que non, pas du tout
Il sera satisfait de ce côté là

Elle le comble ce jeune homme C'est trop

Ca va devenir un pourri gâté à force

Il l'est peut-être déjà

Je m'auto-valide

Jazz Baker a écrit:

« Fait pas cette tête, ce qu’on retiendra surtout c’est la fin de la soirée. »
« Et le beau radiologue »
« J’allais dire et la pizza quatre fromages… » Nouvel éclat de rires général.
« N’empêche que le radiologue était pas mal… »

Muah ah ah ah

Ouais j'avoue, j'aime bien ce passage là
Au fait, ja'i écris un certain sujet dans un certain forum, ej trouve juste pas le titre