» Sєmi Bєndєr ___ my stupid mouth has got me in trouble.

2.What’s your life ?

Biographie :



Encore un dimanche semblable à tous les autres, du moins dans la vie de ce très cher Bender. L’égoïsme ne faisait aucunement partie de ses traits de caractères mais s’il y avait une personne qui savait à la perfection ô combien il détestait devoir se lever tôt le jour du Seigneur, c’était bien Jazz. Avec un parcours familial tel que le sien, personne ne serait autorisé à le critiquer sur sa générosité d’âme et l’engouement qu’il mettait pour rendre heureux les siens ; cependant, lui aussi méritait quelques grâces en contrepartie, davantage en ce jour béni. Mais ce microscopique détail échappait de toute évidence à bon nombre de personnes, y compris sa propre mère, sans oublier la magnifique jeune femme avec qui il passait le plus clair de son temps. Son appartement n’ayant rien de ragoûtant, le jeune couple n’hésitait guère longtemps quant à leur lieu d’habitation pour le week-end. Jazz adorait plus que tout le charisme de sa modeste demeure, quant à Semi, l’endroit lui importait peu à partir du moment où ils étaient deux. Mais il était vrai que l’odeur de noix de coco qui flottait dans l’air entre chaque pièce n’avait rien de déplaisant. Et puis, fainéant comme il l’était, il préférait clairement mettre les pieds sous la table en venant chez elle en plus de se faire héberger plutôt que de devoir faire le grand ménage de Printemps chez lui en sachant qu’elle venait pour tout au plus deux à trois nuits. Semi n’était pas un macho, en revanche il affirmait toutefois que la place d’un homme n’était pas derrière les fourneaux et encore moins l’aspirateur ou le balai à la main. L’appartement de sa copine était tellement clean chaque fois qu’il passait qu’il avait fini par en déduire qu’il était tombé sur le meilleur lot qui soit car des jeunes femmes bordéliques, il avait eu l’occasion d’en côtoyer des dizaines ; d’où l’importance de trouver une femme en majorité différente de lui.

Mais pour l’heure, les deux tourtereaux se promenaient à travers les innombrables étalages sur lesquels reposaient un nombre impressionnant de vinyles anciens. Pour être honnête, les brocantes n’étaient franchement pas sa tasse de thé ; la première fois était marrante mais cela se transformait légèrement en douloureux drame lorsqu’il était contraint de l’y accompagner au moins deux fois par mois. Comme si les morts ou vieux séniles pouvaient apporter des choses nouvelles alors que tous ces trucs devaient dater de la préhistoire. Vous l’aurez bien compris, Semi n’était pas le moins du monde patient, encore moins quand on l’obligeait à faire quelque chose qui lui déplaisait fortement. Alors qu’ils auraient pu passer toute la matinée au lit, à se cajoler, se câliner, s’embrasser et se bécoter, Jazz avait eu l’ingénieuse idée de le traîner dans l’une de ses brocantes favorites. Le jeune homme n’avait d’yeux que pour elle, c’était un fait avéré, prouvé et reprouvé, il faisait bien des choses pour la satisfaire pleinement mais les brocantes le bloquaient inexplicablement. La foule plus le dimanche matin ne faisaient pas bon ménage dans sa petite caboche encore fatiguée. Même s’il avait consenti à l’accompagner, il n’en était pas moins sorti de l’état léthargique dont il était sans cesse sujet tôt le matin. En plus d’être dans le flou artistique le plus total, son esprit était embrumé d’un léger voile qu’on appelait plus communément la fatigue, c’est dans le brouillard et dans le gaz qu’il suivait ses pas sans grande conviction, ne prêtant aucune importance à ce qui l’entourait à la différence de Jazz qui ressemblait à une gamine qu’on viendrait de lâcher dans Disneyland pour la toute première fois. A force de patience et d’une volonté de fer, Semi tint plus d’une heure sans ronchonner mais bientôt les limites furent franchies et la sonnerie d’alarme retentit dans tout son être. « J’en ai marre Jazz. Ca fait plus d’une heure qu’on piétine ici et tu n’as encore rien acheté. »

« Je suis là pour regarder, je n’achète pas quelque chose à tous les coups. » Répondit-elle d’une voix évasive tandis que son regard continuait d’examiner les vinyles.
« Alors pourquoi nous sommes là si tu ne comptes rien acheter ? »
« Pourquoi devrais-je me justifier ? Je te signale que tu as accepté de venir avec moi ! Aux dernières nouvelles, je ne t’ai pas traîné de force. »
« Si je suis ici, c’est pour te faire plaisir. Tu sais que je déteste ce genre de trucs. »
« Ce genre de trucs, c’est ce qui me fait vibrer, tu peux comprendre ça ? Nan bien sûr, à part tes foutus jeux vidéos, y a rien qui t’intéresse. »
« Je peux connaître la raison de tant d’animosité ? » Demanda-t-il, tirant sur sa main pour l’obliger à s’arrêter.
« J’en ai assez de toujours t’entendre râler à chaque fois qu’on sort. Dès que l’endroit n’est pas choisi par Monsieur, ça ne vaut pas la peine c’est ça ? »
« J’ai pas dit ça Jazz, arrête de tout prendre mal. »
« Moi ? Moi je prends mal les choses ? Tu te fous de qui là ? Ca fait au moins une demi-heure que tu soupires à tout va et que je ne dis rien alors que ce n’est pas l’envie qui manque. »
« Tu sais quoi ? Je me tire. Je te laisse toi et tes putains de CD de merde. »
« Pour ta gouverne, ça s’appelle des vinyles ! »
« Rien à battre. »
« C’est ça. »
« Très bien. » Ajouta-t-il avant de se retourner pour partir.
« Casse-toi, c’est bien ! »
« Plus je serai loin de toi, mieux je me porterai ! »
« Bon débarras. »

Ils venaient d’assister à l’une de leurs nombreuses disputes. Dans le fond, elles se ressemblaient toutes même si elles n’avaient pas obligatoirement le même sujet de discorde. Chaque jour qui s’égrenait prouvait à quel point leur couple était explosif, ils ne mâchaient pas leurs mots, faisaient tout pour ne pas perdre la face et aucun des deux ne voulaient plier le premier. Alors ils allaient jusqu’à s’insulter à moitié, voire parfois se donner quelques coups par-ci par-là mais la voie de la réconciliation n’était jamais loin. L’abandonnant sur place, Semi plaça son casque sur sa tête et enfourcha sa moto, une MV Agusta F4 1000 Senna ; seule créature féminine capable de le comprendre et de vivre en harmonie avec lui sans qu’aucun conflit ne naisse. A l’image de deux enfants puérils, ils se firent la tête deux bonnes heures avant qu’il ne revienne chez Jazz pour s’excuser et proposer une trêve jusqu’à la prochaine engueulade publique. La jeune femme accepta rapidement, d’autant plus après l’échange de baisers qu’ils partagèrent.

Affalé sur le sofa, Jazz occupée dans la pièce d’à côté, Semi occupait tout l’espace simplement en regardant la télévision. Les bras derrière la tête et les pieds sur la table basse, il avait fini par prendre ses aises et faire comme chez lui sans y être invité au préavis. Quelques minutes plus tard, la brunette apparût dans le petit salon et croisa les bras contre sa poitrine avant de lever les yeux au ciel. « C’est quoi ce tee-shirt encore ? » Demanda-t-elle avec un sourire narquois, sachant pertinemment qu’il détestait que les autres critiquent ses fameux tee-shirts tous à l’égérie d’un manga ou autre dessin animé. « Ca me rappelle quand j’étais encore célibataire. » Rétorqua-t-il avec un sourire forcé pour lui relancer le pic. « Ha ha ha… » Lança-t-elle avant de prendre place à ses côtés et de venir se blottir contre son torse, l’obligeant à passer ses bras autour d’elle. « T’en as pas marre de regarder Cartoon Network ? » Dit-elle tout en souriant largement. « En me rappelant ce soir-là, tu as accepté d’être avec un grand benêt, tu le sais ça ? »
« Oh oui, je le sais que trop bien d’ailleurs. » Il profita de sa position de faiblesse pour lui tirer sèchement une mèche de cheveux. « AIE ! Espèce de sauvage ! » Souffla-t-elle tout en lui assenant de violents coups de poing sur le torse. Attrapant vivement ses frêles poignets, Semi la hissa sur son torse sans effort à la manière d’un vulgaire poids plume que l’on pourrait facilement manier dans tous les sens. Bientôt ses lèvres allèrent à la rencontre des siennes et ce fût non sans sensualité qu’il emprisonna son petit corps dans ses bras dans le but de la faire sienne ; une réconciliation oui mais une réconciliation en bonne et due forme.

T'as pas précisé que c'était mon époux

Je te nems à la crevette

Et t'as bien cadré le monsieur qui fait peur sur l'image

AHHHHH

Et bah je ne le ferai pas

Moi aussi petit riz cantonnais
Je voulais lui rendre le visage flou mais j'ai oublié

Gipsy > J'en suis venue à bout

Ah le monsieur qui fait peur, je l'aime pas lui

Il faiiiiit peur Mais on s'en fiche, l'intérêt est à droite

La musique me fait penser à Tom Cruise tout gros et moche qui danse

Bon, arrêtez de parler de ce monsieur hein

Pour la musique c'est trop ça je fais que de l'écouter en boucle Ca m'inspire une phrase : Bouge ton boule

j'le vois bien sur sa console à minuit passé avec dse cadavres de bière et un reste de pizza échoué sur le canapé

Je viens de trouver une idée pour notre lien grace à ta fiche

Mouarf, le site de rencontres j'adore, j'avais pensé en faire Wes' une accro en plus

Ah ouais tiens el site de rencontre Comment j'ai trop craqué en lisant xD

Je crois qu'on a toutes craqué sur le site de rencontres

C'est géant les sites de rencontres

Butter > MPotte-moi petite asperge

AAAAHHH c'est quoi ce vava ?

Je suis allée faire mes courses dans une ancienne galerie de Corpsie
Ca représente bien le Semi que j'ai en tête

MON MEC IL EST TROP SEX

Ca n'avance pas ici

Frappe-moi, je le mérite je sais

Mais je disais ça pour rire

Nan mais t'as raison
On est dimanche donc je vais me poser pour faire au moins des anecdotes
Le caractère j'aime pas mais je devrais bien m'y mettre

C'est moi ou personne n'aime écrire le caractère ici ?
Bon ben j'pourrai sans doute lire ça quand je reviendrai de l'annif de ma petite soeur, d'ailleurs mon père vient em chercher à 12h, faudrait peut-être que j'aille me laver

J'ai le temps d'avancer doucement dans ce cas-là

C'est nul le caractère, bouh

Je plussoie pour le caractère

GUUUUUEUH TON KIT j'ai beau savoir que c'est moi qui ai créaté ça, ça n'enlève rien à son charme

Il me reste en gros cette partie mais je traîne les pieds

T'as vu ça un peu